"Le jeu est terminé".
C'est en ces termes que les spécialistes politiques se sont adressés aux responsables éco
nomiques concernant la crise financière qui nous ébranle. Suite à notre article paru l'an passé sur les puces RFID, je ne peux que faire un parallèle pour exposer qu'aujourd'hui, le terrain me semble tout dégagé pour la venue de l'Antichrist dans le monde : Le Jeu est terminé !Les années 80 ont observé la fin du système communiste, les années 2000, celui du capitalisme. Cependant, nous assistons à une fin programmée et contrôlée ! En effet, depuis le 11 septembre 2001, le monde de la finance des Etats-Unis a tenté de prouver au monde que son système était valable en prêtant aux foyers des sommes faramineuses qu'il ne possédait pas. Les conséquences n'ont pas été si longues pour démontrer, par la récente crise des Subprimes que le système illusoire et illusionniste dans lequel nous vivions touchait à sa fin.Lorsque l'Apocalypse parle de Babylone qui tombe, on ne peut s'empêcher de faire le lien avec ce qui se passe actuellement, de par le monde.
Apocalypse 18:2 Il cria d'une voix forte: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur et un repaire de tout oiseau impur et détesté.
Dans la Bible, Babylone représente la domination financière par laquelle nul ne peut ni acheter, ni vendre, sans le signe, symbole de son système. Nous ne pouvons concevoir qu'un simple correctif systémique pourra apporter une solution au problème que nous rencontrons, comme le pensent encore certains décideurs Européens. D'ailleurs, des proches du président américain sortant n'ont pas hésité à proclamer que "c'est la fin du monde". Côté Européen, à part Madame Merkel (mais pourquoi la presse nous parle-telle si peu de ses réserves ?), parle de fonder un nouvel ordre économique par la création d'un "Interpole Financier".En France, le mois dernier, toute tentative d'aide aux établissements bancaires aurait été perçue comme "une grande entorse au pacte de stabilité". Or, Monsieur Henri GUAINO, conseiller du Président, n'hésite pas à dire que "les critères de Maastricht ne sont pas une priorité". Pendant ce temps, l'Angleterre, quant à elle, tente de nationaliser les banques, sur le modèle de la Northenrock !Quel paradoxe, dira-t-on, surtout si on considère que la Banque Fédérale de Réserves des Etats-Unis (qui n'a de fédéral que le nom !), a été créée en décembre 1913 par 6 grandes banques anglaises dans un but bien claire de faire un maximum de profit.En fait, cela correspond exactement à un plan précis qui conduit l'humanité entière à voir l'émergence d'un Homme qui sera au contrôle des Finances mondiales, de la Politique et du Religieux. Cet homme, la Bible le décrit comme l'Antéchrist qui précède la seconde venue de Jésus.Le terrain est donc préparé pour accueillir cette réalité biblique. Il y a encore 50 ans, on aurait eu du mal à imaginer un système pouvant contrôler les finances des individus de la planète. Le texte biblique pouvait alors nous apparaitre comme une simple allégorie de la lutte du bien contre le mal. Qui aurait imaginé que la création d'une carte d'identité, aux Etats-Unis, serait un riche terreau au contrôle financier.Ne nous trompons pas de cible ! Lorsqu'on cherche des coupables, ou qu'on dénonce des responsables de sociétés qui vont faire la fête à 100 000 $, alors que leur société vient d'être sauvée de la faillite par un état, nous ne sommes pas loin des principes des dirigeants de la république Hellénique de l'Antiquité : le Peuple demande du spectacle, des têtes qui tombe, du Jeu ! Alors, pour calmer le peuple, on livre des têtes.

Apocalypse 18:2 Il cria d'une voix forte: Elle est tombée, elle est tombée, Babylone la grande! Elle est devenue une habitation de démons, un repaire de tout esprit impur et un repaire de tout oiseau impur et détesté.
Dans la Bible, Babylone représente la domination financière par laquelle nul ne peut ni acheter, ni vendre, sans le signe, symbole de son système. Nous ne pouvons concevoir qu'un simple correctif systémique pourra apporter une solution au problème que nous rencontrons, comme le pensent encore certains décideurs Européens. D'ailleurs, des proches du président américain sortant n'ont pas hésité à proclamer que "c'est la fin du monde". Côté Européen, à part Madame Merkel (mais pourquoi la presse nous parle-telle si peu de ses réserves ?), parle de fonder un nouvel ordre économique par la création d'un "Interpole Financier".En France, le mois dernier, toute tentative d'aide aux établissements bancaires aurait été perçue comme "une grande entorse au pacte de stabilité". Or, Monsieur Henri GUAINO, conseiller du Président, n'hésite pas à dire que "les critères de Maastricht ne sont pas une priorité". Pendant ce temps, l'Angleterre, quant à elle, tente de nationaliser les banques, sur le modèle de la Northenrock !Quel paradoxe, dira-t-on, surtout si on considère que la Banque Fédérale de Réserves des Etats-Unis (qui n'a de fédéral que le nom !), a été créée en décembre 1913 par 6 grandes banques anglaises dans un but bien claire de faire un maximum de profit.En fait, cela correspond exactement à un plan précis qui conduit l'humanité entière à voir l'émergence d'un Homme qui sera au contrôle des Finances mondiales, de la Politique et du Religieux. Cet homme, la Bible le décrit comme l'Antéchrist qui précède la seconde venue de Jésus.Le terrain est donc préparé pour accueillir cette réalité biblique. Il y a encore 50 ans, on aurait eu du mal à imaginer un système pouvant contrôler les finances des individus de la planète. Le texte biblique pouvait alors nous apparaitre comme une simple allégorie de la lutte du bien contre le mal. Qui aurait imaginé que la création d'une carte d'identité, aux Etats-Unis, serait un riche terreau au contrôle financier.Ne nous trompons pas de cible ! Lorsqu'on cherche des coupables, ou qu'on dénonce des responsables de sociétés qui vont faire la fête à 100 000 $, alors que leur société vient d'être sauvée de la faillite par un état, nous ne sommes pas loin des principes des dirigeants de la république Hellénique de l'Antiquité : le Peuple demande du spectacle, des têtes qui tombe, du Jeu ! Alors, pour calmer le peuple, on livre des têtes.

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